Programme RIPSEC

RIPSEC: Renforcement Institutionnelle des Politiques de Santé basée sur l’Evidence en RDC

Le Renforcement Institutionnelle des Politiques de Santé basée sur l’Evidence en RDC « RIPSEC » est un programme financé par l’Union Européenne. Il vise à renforcer les capacités institutionnelles des établissements nationaux de formation et de recherche en Santé Publique en République Démocratique du Congo (RDC).

Ce programme permet aux écoles de santé publique et à l’Institut National des Recherches Biomédicales (INRB) d’assurer des formations adéquates, de conduire des recherches de qualité et de remplir adéquatement leur rôle d’appui stratégique aux autorités sanitaires nationales, provinciales et locales.

Les politiques de santé devront être basées sur l’évidence afin de permettre leur efficacité, leur efficience pour une prise en charge plus équitable de santé de la population dans une perspective de couverture universelle santé.
Cette évidence recherchée via les expériences publiées ou non et par des recherches nationales sera mise à la disposition des autorités sanitaires pour les aider à rationaliser les politiques de santé.
Les expériences internationales seront contextualisées en fonction des réalités du système sanitaire et de l’étendue continentale de la RDC.

Etant donné que la recherche de l’évidence est un processus continu, RIPSEC mettra sur pied un Centre de Connaissances en Santé du Congo (CCSC) avec trois zones de santé d’apprentissage et de recherche (ZAR).

Les ZAR serviront de cadre pour la formation des jeunes médecins dans la gestion de la zone de santé et des problèmes de santé mais aussi permettront la réalisation des recherches sur des problèmes systémiques et des problèmes de santé.

Les ZAR recevront, dans le cadre de RIPSEC, un appui scientifique et organisationnel des écoles de santé publique : Université de Lubumbashi (UNILU), Université de Kinshasa (UNIKIN), Université Catholique de Bukavu (UCB) et du laboratoire national de santé publique de la RDC (INRB), de l’Ecole National de Santé Publique (ENSP) du Maroc et de l’Institut de Médecine Tropical (IMT) Anvers de la Belgique.

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